L'équipe 4 vient de gagner son second match. Oui, je sais, ça peut surprendre mais c'est la vérité. Allez, ça fait tellement du bien que je le redis une seconde fois : l'équipe 4 vient de gagner son second match. (mmmmh !)
Posons-nous la question de savoir ce qui a pu motiver les troupes ce vendredi soir... Bon d'accord, nous n'étions que 3 joueurs de l'équipe 4, tout les autres participants étant des pièces rapportées (que nous avons appréciées et que nous remercions sincèrement) : sauf à penser que nos joueurs habituels sont la cause de nos défaites, il y a un pas que je ne franchirai pas (pas de paniques, je dis juste ça pour qu'ils me prouvent le contraire lors du prochain match, ça s'appelle la stimulation par l'énervouillement !). Une seconde possibilité pour expliquer notre victoire est celle que nous avions déjà évoquée lors de notre premier succès : le short de Maggy. Bon, certes, ça stimule méchamment une partie des troupes mais en l'occurence elle avait remis le jogging ce vendredi soir. Ce n'est donc pas encore ça. Je pourrai encore évoquer l'invitation à peine déguisée de cette même Maggy à la rejoindre dans son vestiaire à la fin du match sous prétexte qu'elle était seule et qu'elle avait beaucoup de douches pour elle toute seule. Mais encore une fois, nous ne savions pas que nous aurions cette invitation lorsque nous avons commencé à jouer et nous ne pouvons donc pas évoquer cette explication comme source de stimuli pour nos muscles et nos âmes. (Je tiens d'ailleurs à féliciter l'ensemble des hommes de l'équipe qui ont parfaitement su résister à cet appel en raison de leur intégrité morale. Chapeau bas, messieurs !) (Merde, merde et merde, qu'est-ce qu'on peut être cons quand même !!!). Hum... alors, à quoi devons-nous notre victoire ? Mais oui, vous l'avez deviné : à la promesse d'une bonne petite pression et à l'appel des petites bulles que nous savions devoir apprécier après la rencontre. Comme quoi les blondes et les brunes, c'est toujours ce qui fait rêver les hommes (m'en suis faite 3 grosses* vendredi soir, j'avoue que j'étais en pleine forme !) (* Je parle de pintes, bien sûr.)
Posons-nous la question de savoir ce qui a pu motiver les troupes ce vendredi soir... Bon d'accord, nous n'étions que 3 joueurs de l'équipe 4, tout les autres participants étant des pièces rapportées (que nous avons appréciées et que nous remercions sincèrement) : sauf à penser que nos joueurs habituels sont la cause de nos défaites, il y a un pas que je ne franchirai pas (pas de paniques, je dis juste ça pour qu'ils me prouvent le contraire lors du prochain match, ça s'appelle la stimulation par l'énervouillement !). Une seconde possibilité pour expliquer notre victoire est celle que nous avions déjà évoquée lors de notre premier succès : le short de Maggy. Bon, certes, ça stimule méchamment une partie des troupes mais en l'occurence elle avait remis le jogging ce vendredi soir. Ce n'est donc pas encore ça. Je pourrai encore évoquer l'invitation à peine déguisée de cette même Maggy à la rejoindre dans son vestiaire à la fin du match sous prétexte qu'elle était seule et qu'elle avait beaucoup de douches pour elle toute seule. Mais encore une fois, nous ne savions pas que nous aurions cette invitation lorsque nous avons commencé à jouer et nous ne pouvons donc pas évoquer cette explication comme source de stimuli pour nos muscles et nos âmes. (Je tiens d'ailleurs à féliciter l'ensemble des hommes de l'équipe qui ont parfaitement su résister à cet appel en raison de leur intégrité morale. Chapeau bas, messieurs !) (Merde, merde et merde, qu'est-ce qu'on peut être cons quand même !!!). Hum... alors, à quoi devons-nous notre victoire ? Mais oui, vous l'avez deviné : à la promesse d'une bonne petite pression et à l'appel des petites bulles que nous savions devoir apprécier après la rencontre. Comme quoi les blondes et les brunes, c'est toujours ce qui fait rêver les hommes (m'en suis faite 3 grosses* vendredi soir, j'avoue que j'étais en pleine forme !) (* Je parle de pintes, bien sûr.)
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