Après un désistement de Mickaël, de Romain, de Stéphanie et de Jordan, tous pour d'excellentes raisons, le coach fit rapidement ses calculs : 1 + 1 = 2 + 1 = 8 4... enfin, bon, nous n'étions pas assez ! Heureusement, Super Pierrick (le conjoint de Anne) se proposa gentiment la veille au soir pour nous assister dans ce qui allait être un combat titanesque (si, titanesque !).
Mardi midi, alors que le coach vaquait à son travail éreintant et titanesque lui aussi (on est fonctionnaire ou on ne l'est pas), un coup de fil de Jordan remit tout en cause : le jeune homme, qui ne devait pas être là, pouvait finalement venir ! Aussitôt, et avec la célérité qui lui est coutumière, le coach (c'est-à-dire moi, pour ceux qui n'auraient pas bien suivi) appela Super Pierrick pour lui signifier qu'il pouvait super rester chez lui s'il le super voulait. Que croyez-vous qu'il arriva ? Hein, dites, que croyez-vous qu'il arriva ?... Bah dites-le si vous le savez ! Hé bien il arriva que Jordan rappela dans les cinq minutes qui suivirent pour dire que finalement il ne serait pas là (quel coquin ce Jordan !). Le coach, désespéré, appela alors Romain (un de ceux qui ne devait pas être là) pour lui dire qu'il fallait qu'il soit là quand même (et tant pis pour la tendinite !). Bref, tout qui va bien, tout qui va bien... jusqu'à ce fameux coup de fil d'Aurélie (qui, elle, devait être là) : "Je ne serai pas là car j'ai trop mangé de chocolat", me dit-elle de sa petite voix douce ! Arrggghhhh, m'écriai-je, au bord du suicide. Finalement, Jordan étant finalement là (sacré coquin ce Jordan !), nous jouâmes magistralement à six et nous leur mîmes un gros 3 - 0 ! Hé bien voyez-vous, très chers lecteurs, je ne sais pas ce qui me fait dire ça, et je ne sais pas s'ils liront cet article, mais à tous mes petits joueurs : je vous aime comme vous êtes ! Surtout, ne changez rien !
A la fin du match, interviewé par le quotidien Le lombric langoureux, le coach avouera : "J'les aime ! Ah, Bon Dieu que j'les aime ! Mais quand même, y m'font peur des fois !"
Mardi midi, alors que le coach vaquait à son travail éreintant et titanesque lui aussi (on est fonctionnaire ou on ne l'est pas), un coup de fil de Jordan remit tout en cause : le jeune homme, qui ne devait pas être là, pouvait finalement venir ! Aussitôt, et avec la célérité qui lui est coutumière, le coach (c'est-à-dire moi, pour ceux qui n'auraient pas bien suivi) appela Super Pierrick pour lui signifier qu'il pouvait super rester chez lui s'il le super voulait. Que croyez-vous qu'il arriva ? Hein, dites, que croyez-vous qu'il arriva ?... Bah dites-le si vous le savez ! Hé bien il arriva que Jordan rappela dans les cinq minutes qui suivirent pour dire que finalement il ne serait pas là (quel coquin ce Jordan !). Le coach, désespéré, appela alors Romain (un de ceux qui ne devait pas être là) pour lui dire qu'il fallait qu'il soit là quand même (et tant pis pour la tendinite !). Bref, tout qui va bien, tout qui va bien... jusqu'à ce fameux coup de fil d'Aurélie (qui, elle, devait être là) : "Je ne serai pas là car j'ai trop mangé de chocolat", me dit-elle de sa petite voix douce ! Arrggghhhh, m'écriai-je, au bord du suicide. Finalement, Jordan étant finalement là (sacré coquin ce Jordan !), nous jouâmes magistralement à six et nous leur mîmes un gros 3 - 0 ! Hé bien voyez-vous, très chers lecteurs, je ne sais pas ce qui me fait dire ça, et je ne sais pas s'ils liront cet article, mais à tous mes petits joueurs : je vous aime comme vous êtes ! Surtout, ne changez rien !
A la fin du match, interviewé par le quotidien Le lombric langoureux, le coach avouera : "J'les aime ! Ah, Bon Dieu que j'les aime ! Mais quand même, y m'font peur des fois !"
Moi j'ai eu des infos cconcernant le petit problème d'Aurélie. Il s'emblerait que le début d'année fut difficile ..... Moi je dis je dis rien !!!
RépondreSupprimerTiens, j'ai eu les mêmes infos par la copine de la belle-soeur ! Tout le monde est au courant, alors ?
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